BRIAN ENO « CONFÉRENCE À L'UNIVERSITÉ D'ÉDIMBOURG »
Enregistrement : 11/01/2020
Mise en ligne : 11/01/2020
Afin de démarrer l'année 2020 sur une touche constructive, volontaire et optimiste, par-delà les sujets qui accaparent et encombrent l'esprit de nos contemporains, retour sur une très belle conférence de Brian Eno, donnée en 2016 au Collège des arts, des sciences humaines et sociales de l'université d'Édimbourg.
Quatre-vingt quinze minutes de fulgurances et d'originalité, au cours desquelles cet artiste, producteur et compositeur britannique, collaborateur de Devo, d'Ultravox, de David Bowie, de U2 et des Talking Heads, revient sur l'importance de l'intelligence collective, de l'art et de la culture dans nos sociétés saturées, le fonctionnement et l'évolution du cerveau humain, à la fois d'un point de vue individuel et en réseau, ses fameuses « stratégies obliques » de créativité et la prépondérance du groupe face au mythe de l'individu, réflexions ponctuées de traits d'humour et d'une myriade de digressions réjouissantes.
Véritable bouffée d'oxygène face à un paysage masse-médiatique saturé de messages anxiogènes et dépressifs, une illustration supplémentaire de notre besoin fondamental d'autres narrations de la période que nous traversons, de storytellings distincts des boucles angoissantes perpétrées par les chaînes d'informations en continu.
Quatre-vingt quinze minutes de fulgurances et d'originalité, au cours desquelles cet artiste, producteur et compositeur britannique, collaborateur de Devo, d'Ultravox, de David Bowie, de U2 et des Talking Heads, revient sur l'importance de l'intelligence collective, de l'art et de la culture dans nos sociétés saturées, le fonctionnement et l'évolution du cerveau humain, à la fois d'un point de vue individuel et en réseau, ses fameuses « stratégies obliques » de créativité et la prépondérance du groupe face au mythe de l'individu, réflexions ponctuées de traits d'humour et d'une myriade de digressions réjouissantes.
Véritable bouffée d'oxygène face à un paysage masse-médiatique saturé de messages anxiogènes et dépressifs, une illustration supplémentaire de notre besoin fondamental d'autres narrations de la période que nous traversons, de storytellings distincts des boucles angoissantes perpétrées par les chaînes d'informations en continu.
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