Ce que la presse et les médias disent de La Spirale ?

La Spirale
5,K vues
Ce que la presse et les médias disent de La Spirale ?

EXTRAITS DE LA REVUE DE PRESSE DE LA SPIRALE.ORG

Propagande et médias de masse… Depuis le plateau de l’émission Nulle part ailleurs sur Canal+ où Xavier de Moulins eut le bon goût de présenter La Spirale, peu de temps après lui avoir consacré une chronique dans Les Inrockuptibles, jusqu’aux pages du journal Le Monde, de Libération, depuis les antennes de Radio Nova, de Radio Libertaire et de France Culture jusqu’aux blogs cyberpunks du nouveau millénaire : un tour d’horizon de ce que la presse et les médias ont dit de La Spirale.

Il y a des années que je lis La Spirale, cette mine d’informations et d’inspirations artistiques et cyberpunk. Il y avait donc des lustres que je voulais interviewer Laurent Courau, son fondateur et auteur principal depuis 1995. C’est aujourd’hui chose faite, et je suis heureux de pouvoir publier cet échange fleuve, long et fécond, pétri de l’intelligence de ceux qui étudient, depuis des décennies, les marges obscures de nos sociétés qui se voudraient très rationnelles. (…) Discuter avec Laurent, c’est un peu voir le futur, l’invisible, le rêve et l’enfer en même temps.

ANTOINE ST. EPONDYLE, COSMO-ORBUS.NET (JANVIER 2019)

Chaque jour que Dieu (dé)fait, s’agite en coulisses, en souterrain, derrière, dessous, demain, bref, partout et invisible, un monde empli d’énergie, d’idées, de ressources. On l’appelle le plus souvent l’underground ou la contre-culture. Ces deux dernières décennies, aucun média français ne l’a couvert plus sérieusement, plus respectueusement, et avec plus de constance que le site internet La Spirale. C’est la raison pour laquelle nous avons souhaité rencontrer son fondateur, Laurent Courau, journaliste éclectique pour dire le moins, afin qu’il nous raconte ses aventures au sein des marges les plus folles et étonnantes de la planète, et nous transmette quelques-uns de leurs messages ou, plutôt, nous fasse bénéficier des conseils et enseignements qu’il tire de plus de vingt ans passés à explorer l’art surgi des bas-fonds. (…) Depuis le décès de Jean-François Bizot, il y a un nouveau « pape de l’underground », selon l’expression consacrée, et il s’appelle Laurent Courau. Interview joyeuse, détendue et tournée vers l’avenir.

JULIEN MILLANVOYE, POSTAPMAG (MAI 2018)

Catégorie cultures alternatives, nous vivons une histoire d’amour un peu étrange avec La Spirale : fascination ; connections entre réels [pluriels] et imaginaires ; in/exfiltrages en règle. Il serait difficile de cacher notre curiosité, au Cafard, face au nouvel essai/reportage de son fondateur, à savoir : Laurent Courau. (…) L’essai passionnera toute personne curieuse [et peu importe vos goûts]. Et c’est là le point central de Vampyres : cette volonté palpable de l’auteur a essayer d’ouvrir notre horizon ; à, au-delà même de ce mouvement [qui n’est finalement qu’un négatif de notre société], chercher à nous faire comprendre qu’il n’existe pas que le mainstream. Que quiconque peut choisir de vivre ses fantasmes, ses envies, ses idées jusqu’au bout.

DAYLON, LE CAFARD COSMIQUE (MAI 2006)

Laurent Courau, qui fut pendant des années le cerveau de La Spirale, l’un des seuls sites underground français, vient de publier chez Flammarion, en compagnie de Lukas Zpira à la photographie, un livre sur la mystérieuse culture des vampyres, en apéritif d’un documentaire qui devrait voir le jour fin 2006. (…) Les vampyres font sans aucun doute partie de la « contre-culture posthumaniste », au même titre que les technochamanes, les transhumanistes, les magiciens du chaos… Outre la nostalgie d’un état surhumain, on y retrouve aussi l’interpénétration borgesienne entre le réel et la fiction. (…) Et on dit que la société tend vers l’homogénéisation…En attendant l’invasion des otherkins, plongeons-nous avec délices dans le bouquin de Courau et Zpira. Et un bloody mary O négatif, un !

RÉMI SUSSAN, LE TEMPS DU POSTHUMAIN (MAI 2006)

Journaliste indépendant spécialisé dans les cultures alternatives contemporaines, Laurent Courau (que nous connaissons notamment grâce à son excellent webzine La Spirale), publie aujourd’hui chez Flammarion le résultat d’une enquête de longue haleine : Vampyres, quand la réalité dépasse la fiction. C’est dans les quartiers chauds de New York qu’il est parti, aux côtés de Lukas Zpira, à la rencontre des vampyres, une subculture étonnante : entre société secrète, pratiques occultes et inspiration victorienne. Évitant soigneusement tout sensationnalisme, l’auteur nous parle de ce qui pourrait bien devenir un extraordinaire phénomène de société.

ALYZ TALE, ELEGY (AVRIL 2006)

C’est un livre sur la souffrance. Un livre sur ceux qui pensent (tordu, autrement, mal, très mal, fort bien). C’est un livre de génération sans âge, c’est la Mutation écrite noire sur blanc, brouillonne, tatillonne. C’est un livre sur ces dix dernières années et les décennies à venir. Sa couverture est rouge, rouge comme une évidence. Il s’agit de vie, de sang, de bouillonnement. C’est un livre Majeur, sans majuscule, un livre qui encule et défonce ce qui reste à masturber : nos esprits. Il s’intitule Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org (éditions du Rouergue). Dix ans de cyberculture, de sous-culture, de sur-culture. Interview.

DAVID DUFRESNE, DAVDUF.NET (OCTOBRE 2004)

Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org de Laurent Courau, une anthologie consacrée à la contre-culture contemporaine qui s’offre le luxe de l’intelligence (…) une longue et riche reflexion sur les excentriques d’aujourd’hui qui annoncent le monde de demain (…) de la belle ouvrage qui fera probablement date.

SANDRINE FILIPETTI, ROLLING STONE (MAI 2004)

Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org constitue un voyage essentiel au coeur des marges du monde, et au centre de celui de demain.

JEAN-FRANÇOIS MICARD, D-SIDE (MAI 2004)

Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org de Laurent Courau est une somme de la contestation que le bon-goût a nommé post-moderne. (…) Il se révélera urgent d’ouvrir l’anthologie de La Spirale pour avoir une idée des solutions que nous apportent l’imagination et la vie.

JULIEN MILLANVOYE, BLAST (MAI 2004)

Une confidence : il nous est arrivé plusieurs fois de découvrir des artistes, écrivains, théoriciens bien trippants en se connectant au site de La Spirale. (…) Nous voilà conviés à un long shoot de contre-culture hardcore, intello et très contemporain.

PHILIPPE NASSIF, TECHNIKART (MAI 2004)

Fringant vaisseau amoral des cultures déviantes, La Spirale fait le point sur huit années de rencontres au sommet de l’underground. À travers la quarantaine d’interviews compilées, Laurent Courau réunit une incroyable galerie de mutants digitaux et d’hacktivistes azimuthés qui dessine en creux les circonvolutions et les interrogations de notre époque. Entre l’étude de moeurs (la première de ce début de siècle ?) et l’invention du documentaire-SF.

ALEXANDRE BOUCHEROT, FLUCTUAT.NET (MAI 2004)

Félicitons-nous de la sortie de Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org de Laurent Courau car, à sa lecture, on se prend à rêver – chose rare aujourd’hui – d’un futur multiple encore possible, où chaos ne rime pas forcément avec conflits, un futur créatif et exubérant où toutes les voies sont encore ouvertes et praticables.

MAX RENN, CODA (JUIN 2004)

Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org est un livre puissant où l’on retrouve des analyses toujours très fines des mutations technologiques qui affectent nos manières de vivre (…) un livre un brin cinglé qui exhume le véritable héritage des 90’s pour nous faire entrer de plain-pied dans le XXIe siècle technologique et numérique.

FNAC.COM (JUIN 2004)

Mélange ahurissant de théories politiques, croyances new age, pratiques corporelles ou sexuelles, la contre-culture née sur le Net grignote la société. Laurent Courau en fait le tour dans un livre d’interviews. (…) Un Maurice G. Dantec, prophète du pourrissement de la société, y côtoie un « volontaire de l’extinction de la race humaine » (pour sauver la Terre). Un ancêtre des antipubs du Billboard Liberation Front succède à un adepte des modifications corporelles, tandis qu’une égérie du cybersexe revient sur ses premières expériences et qu’un pionnier de la scène sadomaso, Francis Dedobbeleer, explique qu’il se bat « pour sortir le SM des ornières élitistes et des stéréotypes politiquement corrects ». Cette panoplie de l’étrange n’est qu’un tout petit échantillon de Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org, première incursion française dans l’underground à la sauce digitale.

ANNICK RIVOIRE, LIBÉRATION (JUIN 2004)

En dessous, en marge, contre… La position de La Spirale, « e-zine for the digital mutants », est « ailleurs », hors média, hors culture. La Spirale ne s’intéresse qu’à l’underground, la contre-culture, à « tous ces allumés qui annoncent le monde de demain », à « ces expériences marginales qui vont pénétrer la culture grand public, même édulcorées, de la même manière que la cyberculture a été vaporisée en cinq ans dans la société », dit Laurent Courau. (…) Miroir français de la cyberculture, La Spirale a su parler avant tout le monde de Stellarc et ses extensions technologiques, de Gibson, Sterling, Spinrad ou Dantec.

ANNICK RIVOIRE, LIBÉRATION (MAI 2001)

En deux ans, le site La Spirale est devenu un incontournable du Net pour tous ceux qui s’intéressent un tant soit peu aux cultures déviantes, décalées, voire carrément barjos ou tout simplement pour ceux qui recherchent un certain dépaysement intellectuel. Refondu il y a un an, le site est passé du statut de homepage délirante, mais déjà pléthorique, à celui de véritable portail des contre-cultures !

MAX RENN, CODA MAGAZINE (FÉVRIER 2001)

    CONTACT


    Related Articles